Le Sénégal tourne une page décisive de son histoire économique et énergétique. À partir de 2026, notre pays ne dépensera plus un seul franc pour importer du gaz de l’étranger. C’est la promesse ferme et visionnaire du Premier ministre Ousmane Sonko, qui vient ainsi concrétiser l’aspiration profonde de tout un peuple : se libérer de la dépendance et construire une véritable souveraineté énergétique.
Grâce à cette décision courageuse, le Sénégal économisera 140 milliards de francs CFA chaque année, une manne financière colossale qui servira désormais aux priorités nationales, au bien-être des ménages et à la compétitivité des entreprises locales. Mieux encore, cette orientation entraînera une baisse significative du coût de l’électricité, un soulagement attendu depuis des décennies par les populations.
Ousmane Sonko démontre une nouvelle fois qu’il n’est pas un simple gestionnaire, mais bien un bâtisseur de Nation. En plaçant le secteur privé national au cœur de cette révolution, il prouve que la transformation du Sénégal ne se fera pas dans la soumission aux diktats étrangers, mais par la valorisation de nos ressources, de nos compétences et de nos propres forces.
La rupture est claire : finis les gaspillages dans des cargaisons importées, place à l’exploitation locale et au développement endogène. Ce choix audacieux s’inscrit pleinement dans la Vision Sénégal 2050, un agenda de transformation qui fera entrer notre pays dans le cercle des nations véritablement souveraines et prospères.
Dans ses échanges avec les investisseurs sénégalais, le Premier ministre a rappelé que le Sénégal ne quémandera pas mais construira des partenariats gagnant-gagnant. La porte reste ouverte aux capitaux étrangers, mais dans une logique d’appoint, et non plus de domination. Les temps de la dépendance aveugle sont révolus.
Le Plan de redressement économique et social (PRES), qui mobilisera plus de 5 000 milliards de francs CFA à 90% sur ressources domestiques, est la preuve éclatante de cette nouvelle ère. Jamais dans l’histoire récente, un gouvernement n’avait affiché une telle volonté de mettre les Sénégalais au centre de la croissance nationale.
En mettant fin à l’importation de gaz, Ousmane Sonko ne prend pas seulement une décision économique. Il envoie un signal fort : le Sénégal reprend son destin en main.
source/leral.net